Ce week end se tenait un vote interne parmi les adhérent·es d’Europe Ecologie Les Verts de Loire Atlantique, pour désigner un chef de file Homme et une cheffe de file Femme pour les élections sénatoriales à venir en septembre 2023.

Mahel Coppey, élue à la ville de Nantes et Vice-présidente de Nantes Métropole en charge des déchets, de l’économie circulaire et de l’Economie Sociale et Solidaire, et Franck Nicolon, élu d’opposition à la mairie de Clisson, et élu d’opposition au conseil régional des Pays de la Loire, ont été désigné·es à l’issue de ce vote.
Depuis 2017 le paysage politique a évolué en Loire-Atlantique. Les votes, comme la prise de conscience écologique. Ils ont beaucoup progressé lors des dernières élections municipales, régionales et départementales. Nous considérons que le vote des citoyennes et des citoyens aux élections, mais aussi les prises de conscience de nombreux élu·es locaux, doivent se traduire par l’élection d’un sénateur ou d’une sénatrice EELV en 2023.
Nous nous engageons pour une union des forces de gauche et écologistes en Loire-Atlantique. La désunion serait un très mauvais signal pour celles et ceux qui se sont mobilisé·es au long de ces dernières semaines contre le gouvernement Macron et la réforme des retraites, et pour celles et ceux qui se sont reconnu·es dans l’unité de la gauche et des écologistes lors des dernières élections législatives. La gauche et les écologistes doivent pouvoir se rassembler en 2023 comme nous avons su le faire en 2022. Les urgences écologiques et sociales sont trop fortes pour que les ambitions personnelles ou les affaires d’appareil privent les habitantes et les habitants de Loire-Atlantique de sénateurs ou sénatrices combatifs·ves et engagé·es pour l’écologie et la justice sociale.

C’est avec détermination et dans un esprit unitaire que les écologistes discutent actuellement avec les différents partenaires politiques, afin d’aboutir à une liste unique des gauches et des écologistes.

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