Municipales 2020 à Nantes : L’urgence d’agir !
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Julie LAERNOES tête de liste écologiste à Nantes #municipales2020. Photo ©Benjamin Boccas

La crise sanitaire, comme l’action contre le changement climatique, nous obligent à changer rapidement, et vraiment ! Nos modèles de production, de consommation et de gouvernance. Parce qu’il n’y a plus de temps à perdre pour préparer notre ville à relever les défis économiques, sociaux et écologiques, nous avons choisi en responsabilité et avec détermination de nous placer du côté de l’action et de rejoindre Johanna Rolland et son équipe autour d’un nouveau projet commun. Nous pourrons ainsi impulser des mutations profondes : la mise à l’abri des personnes à la rue, un plan vélo d’une ampleur inédite, des budgets participatifs associant les citoyens…

Aussi, le dimanche 28 juin, et plus encore dans les années à venir nous comptons sur vous !

Julie LAERNOES

Ressources :

Une réflexion au sujet de “Municipales 2020 à Nantes : L’urgence d’agir !

  1. Bonjour
    Pour avoir suivi le dossier Yellow park, ainsi que celui des pelouses synthétiques pour les terrains de foot, je ne suis pas sur que les sujets liés au sport ne soient toujours bien traités à Nantes.

    Je viens de lire que le bassin ouest de la piscine Gloriette (bassin en plein air inauguré le 14 juillet 1951, accolé à un deuxième bassin en 1979) pourrait être transformé en un bassin nordique de plein air.

    Bien entendu, au premier abord cette idée peut être attirante pour beaucoup, mais si l’on tient compte du coût de la transformation, de la météo locale, du bruit et de la pollution automobile, il y a matière à réflexion. Il y a une raison s’il ce même bassin a été recouvert il y a 50 ans !

    Mon avis : compte tenu de l’exposition plein ouest du bassin, il faut garder une toiture pour une moitié de l’année. Attendons au moins que les voitures aient quitter le centre ville avant de penser à retirer la couverture.
    Si l’on souhaite un bassin en plein air, on peut prévoir une structure modulable. Il est certain que la toiture actuelle dénature le bâtiment mais si l’on veut remettre en valeur cette architecture 1950, il faut un spécialiste.

    Proposition : En été on pourrait déjà ouvrir quelques baies et aménager le solarium qui existe à côté (fermé au public). En respectant le travail des l’architecte (Liberge, Menard et Manceau), on pourrait embellir à moindre coût ce bâtiment très fréquenté avec quelques travaux, de la végétation…
    On pourrait aussi faire des expositions (à ce sujet, je ne donnerais pas mon avis sur les poissons gris en plastique).
    Pour l’autre bassin, on pourrait aisément se passer de lumière artificielle en créant des ouvertures dans la toiture.
    Comme vous le voyez c’est un sujet très intéressant pour un bâtiment très bien placé mais cela mérite une réflexion sérieuse.
    Cordialement

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